ELECTIONS 2019 :

DES ENJEUX POUR LES QUATRE ANS À VENIR

La politique de rémunération du CEA a atteint ses limites : la Direction veut réviser les grilles de salaires en individualisant encore plus les avancements dans une enveloppe budgétaire toujours à la baisse. STOP !

La CFE-CGC prône la mise en place d’une grille de salaire permettant une cohésion entre les salariés, sans les opposer et offrant une véritable vision sur leur carrière.

Le sentiment d’appartenance au CEA ne suffit plus à maintenir la cohésion sociale. Face à l’augmentation des démissions et le manque de moyens donnés aux chercheurs, le CEA n’est plus suffisamment attractif.

Les contraintes budgétaires impactent sur le mode de réalisation de la recherche. La science est d’abord pilotée par la nécessité  de trouver des financements par des contrats industriels ou institutionnels (ANR, Europe …)

Pas de contrats, …. pas de développement, pas de science ! Quel avenir pour celle-ci et la recherche?

Cette course perpétuelle aux produits liés impacte les conditions de travail  et les conditions d’évolution de carrière.

SEUL UN SYNDICALISME INDÉPENDANT, EXIGEANT MAIS CONSTRUCTIF ET RESPONSABLE POURRA FAIRE FACE AUX MUTATIONS À VENIR.

FAIRE EVOLUER LES Mentalités

 

 

Pour faire comprendre que la valorisation des activités et des salariés est le point de départ de la Qualité de Vie Travail.
 

 

Pour faciliter le quotidien et optimiser nos actions professionnelles, comme par exemple le télétravail.

Pour améliorer les conditions de travail en vue d’une diminution notable des burn-out et bore-out.

 

Pour prendre en compte les Risques PsychoSociaux  et agir pour ne pas laisser les situations graves se dégrader.