Quelques points du Programme ALAS Grenoble CFE/CGC
- Donner plus de liberté dans l’accès au sport et aux activités culturelles pour les salariés qui habitent loin de leur site.
- Amener aux PRTT et à l'INES un niveau de prestation au moins équivalent à celui de Grenoble
- Mettre fin à la discrimination des couples d’ouvrant droit sur certaines prestations qui sont limitée à une par foyer fiscal
- Chèques CESU pour l’aide aux devoirs et aide-ménagère pour tous.
- Poursuivre la dématérialisation des prestations (billetterie en ligne, paiement en ligne sur OAASIS).
- Proposer une participation sur les forfaits, les cours de ski, les locations estivales de vélo, etc…dans une prestation vacances
- Faire passer les chèques vacances au national (ACAS) avec un budget plus conséquent (nous avons déjà obtenu une entame de ces actions pour 2019 avec 150k€ de budget ACAS)
- Mieux utiliser les évènements URSSAF pour distribuer plus aux salariés. (Moyen de distribuer plus aux salariés sans charges sociales)
- Maintenir l’Arbre de Noël de l’INES (la question s’est posée, pas de notre point de vue…)
- Et bien plus d'idées, vos idées !
Interview d’une candidate : Nelly Plassat
« Cela fait déjà plusieurs années que je souhaitais m’investir dans les activités sociales du CEA. Au fil des ans, j’ai intégré différentes commissions de l’ALAS dont la culture, les activités et les voyages en tant que salariée.
L’année dernière, un projet de création d’une association sur le site d’INES pour les activités sociales, sportives et culturelle est né. J’ai tout de suite été motivée pour participer à la création et au lancement des activités et je suis aujourd’hui secrétaire de l’association.
Malgré les difficultés rencontrées, j’ai pris conscience de l’importance du soutien des syndicats dans ce type d’initiative. Sur ce projet, la CFE-CGC nous a beaucoup aidé.
En 2018, la création d’Act’Ines et l’arbre de Noël à Aix les bains pour les salariés du bassin chambérien ont montré que les choses changent et que les sites distants peuvent aussi faire valoir leur droit à bénéficier d’actions sociales.
Voulant toujours en faire plus dans ce sens, et forte de cette expérience, il était logique pour moi de franchir le cap et de rejoindre la CFE-CGC. »